Plusieurs initiatives pour secouer la fatalité de la difficulté de l'accès aux soins ont été prises ces derniers temps.
Le maire de Monsempron-Libos plaidait publiquement pour son action pour retenir un médecin qui quitte la commune la privant de cabinet médical. Il a utilisé la cérémonie des voeux pour critiquer nommément le médecin. Il s'est attiré dans Sud-Ouest du 3 novembre une réplique virulente de la personne concernée. Vous pouvez la lire ci-contre.
Nous rappelons que le conseil municipal n'a pas été saisi de cette question qui a été gérée uniquement par le maire et ses adjoints. L'opposition a demandé que l'on réserve une partie de l'ancienne école maternelle de Libos à un cabinet médical car il y a une sortie par les petites rues derrière la place du marché. Cette école appartient à la commune, elle est en vente et nous pouvons l'aménager comme nous voulons.
Utiliser la cérémonie des voeux pour régler des comptes est déplacée. Nous demandons également que cette cérémonie soit désormais celle de la mairie certes mais aussi de toutes les associations pour offrir un panorama dynamique de la commune et pas uniquement un justificatif de l'action municipale !
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A. Devilliers a publié sur son blog une lettre ouverte au vice-président de la communauté de communes chargé de la santé, voyez là en cliquant ici. Il propose de réunir rapidement l'ensemble des acteurs de la santé du territoire.
Depuis, une pétition circule sur internet. Vous pouvez la lire et la signer en cliquant ici.
Vous pouvez lire aussi le débat sur la page Facebook : "Fumel, ça va, ça va pas", cliquez ici.
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Un groupe s'intitulant "pour une dynamique citoyenne du médical à Fumel-Vallée du Lot" s'est mis en place et se donne pour mission de
- s'informer et informer sur la situation médicale et pousser à la mise en place de projets concernant les équipements de santé,
- de s'engager à accompagner les médecins qui viendraient pour s'installer,
- de contacter des universités francophones, belges en particulier dont les jeunes médecins peuvent être tentés par un installation dans le sud-ouest,
- de faire pression pour que des mesures nationales organisent l'affectation de jeunes médecins dans les zones de faible densité médicale.
La multiplicité des initiatives montre l'importance de l'inquiétude et de la réaction de nos concitoyens !
